Les dysfonctions érectiles au-delà du temps

dysfonctions erectiles

Le journal canadien Toronto Star indique que ce sont les modes de vie et de pensée impuissants qui créent les problèmes d’érection chez la plupart des hommes des temps modernes, suggérant que les dysfonctions érectiles ne semblaient pas embêter tant d’hommes au siècle dernier.

En se référant aux derniers chiffres publiés qui indiquent que les dysfonctions érectiles toucheraient 322 millions d’hommes d’ici 15 ans, le Toronto Star attribue le problème sexuel masculin le plus commun a un mode de vie et une mentalité mous.

Se détourner de l’impuissance pour la peur de l’embarras qui ne résoudra jamais le problème, comme le quotidien l’indique, en soulignant que les problèmes d’érection n’épargnent pas même les jeunes adultes.

Une indifférence totale envers un mode de vie et une alimentation sains, obstrués par le stress provoqué par le travail, grignote doucement mais surement la santé sexuelles des hommes.

Le quotidien indique également que le niveau moyen de l’hormone sexuelle masculine testostérone chez les hommes avait chuté durant les 40 dernière années, ce qui explique pourquoi nos ancêtres n’ont jamais eu de raisons de se préoccuper de problèmes d’érection.

Pour en rajouter une couche, les hommes des temps modernes veulent eux-mêmes être toujours plus performants, pensant qu’ils peuvent parvenir à tout ce qu’ils souhaitent.

En conséquence de quoi ils finissent toujours par enterrer leur virilité sous un fardeau auto-infligé d’attentes irréalistes, précise le quotidien canadien.

Creusant un peu plus à la racine des causes de l’érection, le journal provincial de Toronto indique que rares sont les hommes qui ont envie d’étaler leurs problèmes d’érection avec leur partenaire féminine, ce qui envoie bien souvent des signaux négatifs aux femmes et complique encore plus la communication entre les deux sexes.

2.Les dysfonctions érectiles et le syndrome des jambes sans repos, le retour

Les hommes souffrant du syndrome des jambes sans repos présentent plus de chances de développer des dysfonctions érectiles, comparés à ceux qui ne présentent pas ce trouble, indique une nouvelle recherche.

Menée par Xiang Gao de l’Université de Harvard, l’étude a commencé en 2002, prenant en compte plus de 11 000 hommes qui n’avaient pas de troubles de l’érection ni aucun facteurs de risques des plus connus pouvant causer les dysfonctions érectiles.

En 2008, les auteurs de l’étude avaient découvert que 2 000 participants avaient développés des difficultés à obtenir ou maintenir une érection, le coupable présumé étant le rôle de la dopamine dans la pathogénie des deux conditions.

Les individus qui souffrent du syndrome des jambes sans repos ressentent un besoin urgent de secouer leurs jambes pour prévenir des sensations bizarres.

Selon le Dr Gao, un faible taux de dopamine pourrait être un signe de ce trouble, ce qui explique pourquoi la dopamine dans son état de prodrogue est indiquée comme traitement.

Coïncidence, le Magazine International de Recherche sur l’Impuissance relie les dysfonctions érectiles à de faibles taux de dopamine.

Le stress est également considérer comme un grand facteur de risques pour les dysfonctions érectiles comme pour le syndrome des jambes sans repos.

L’âge moyen de diagnostic de l’impuissance masculine était de 64 ans – généralement considéré comme le seuil limite pour développer des troubles de l’érection.

Levitra est réputé pour être un traitement contre l’impuissance masculine très efficace sur les hommes de plus de 50 ans qui souffrent d’autres problèmes de santé.

De plus amples études sont nécessaires pour établir définitivement le lien entre le traitement de ce trouble neurologique et son influence sur les dysfonctions érectiles.

3.La thérapie post-cancer pour assister les problèmes d’érection

L’étude menée aux Etats-Unis suggère que des conseils en ligne et une thérapie traditionnelle pourraient aider les hommes qui souffrent de dysfonctions érectiles après un cancer de la prostate.

Des chercheurs de l’University of Texas MD Anderson Cancer Centre, menés par Leslie Schover, ont étudié 115 patients en réminiscence d’un cancer de la prostate qui souffraient de dysfonctions érectiles.

L’étude CAREss (Counselling About Regaining Erections and Sexual Satisfaction, Conseil pour retrouver ses érections et une vie sexuelle satisfaisante) ont classé ces sujets en trois groupes ; l’un en attente d’une thérapie et de conseils, un autre recevant des soins en ligne et le troisième recevant des soins en face-à-face.

Pendant trois mois d’étude, les groupes étaient changés au hasard, recevant une nouvelle forme de thérapie ou retournant sur une liste d’attente.

71 couples utilisant uniquement Internet pour recevoir des conseils de plus étaient ajoutés pour aider à analyser les résultats.

Ces derniers ont montré que généralement, les hommes et leur partenaire qui avaient reçu une forme quelconque de conseils, que ce soit en ligne ou une thérapie traditionnelle, avaient significativement amélioré leur fonction érectile et orgasmique.

Ils ont également reporté plus de satisfaction dans les échanges et une satisfaction sexuelle générale, comparés à ceux qui étaient toujours sur liste d’attente.

Malheureusement, Schover a indiqué que beaucoup de personnes aux Etats-Unis rencontraient beaucoup de difficultés pour pouvoir obtenir le suivi nécessaire du fait de la situation de leur assurance maladie.

« Très peu d’assurance santé couvrent suffisamment les thérapies sexuelles en particulier, et les thérapies en général.

Une autre barrière est que très peu de professionnels de la santé sexuelle sont formés pour réagir face aux problèmes sexuels causés par le traitement du cancer ».

Levitra orodispersible contre les problemes d'érection et l'impuissance masculine est approuvé en écosse.

Le médicament contre l’impuissance Levitra Orodispersible, qu’il suffit de placer sur la langue et qui s’y dissout, est à présent disponible en Ecosse.

Le nouveau traitement contre les problèmes d’érection a été approuvé récemment par la Commission Européenne et a été mis à la disposition des britanniques depuis Mars.

Levitra, de même que Cialis et Viagra, est la forme de traitement contre l’impuissance la plus communément disponible pour les hommes qui rencontrent des difficultés à obtenir et maintenir des érections suffisantes permettant la pénétration.

Toutefois, 40% des hommes suivant l’un de ces traitements le trouverait efficace mais pas très pratique d’usage, ni très discret.

Contrairement aux pilules déjà disponibles, Levitra Orodispersible se dissout sur la langue rapidement sans eau, et il est vendu dans un paquet très mince, ce qui permet à l’homme de le prendre en toute discrétion au moment où il sent que le rapport sexuel va voir lieu sous peu.

Pour citer les laboratoires Pharmaceutiques Bayer qui fabriquent Levitra Orodispersible, ce-dernier permet de « démédicaliser » le traitement des problèmes d’érection et peut aider les hommes à avoir moins conscience de leur problème personnel qui peut s’avérer gênant.

En accueillant à bras ouvert la nouvelle forme du médicament, un urologue écossais de Dumfries et du Galloway Royal Infirmary indique que l’attente est enfin terminée et que de très nombreux hommes peuvent maintenant se faire à l’idée de prendre un traitement contre l’impuissance sûr, ajoutant que la jeune population souffrant de diabète et de certains autres problèmes de santé pourrait tirer les bénéfices maximums de ce nouveau traitement.

Une sexologue qui met ses conseils en pratique avec ses patients

Les hommes peuvent désormais bénéficier d’un traitement bien différent de ce qu’ils connaissent pour remédier à leur impuissance, grâce à une sexologue qui se met littéralement à nu devant ses patients pour les aider à surmonter leur problèmes sexuels pour jouir d’une vie sexuelle plus saine, selon ce que rapport le journal anglais Daily Mail.

Padma Deva, une sexologue de 31 ans exerçant à Londres, rencontre ses patients dans son cabinet privé et parle avec eux de tout problème de couple ou d’ordre sexuel qu’ils peuvent rencontrer, indique le Daily Mail.

S’il s’agit de problèmes d'érection causés par des facteurs d’ordre physique, elle oriente d’abord ses patients vers leur médecin traitant ou un urologue.

Toutefois, quand le problème a une origine émotive, comme de l’angoisse ou un manque de confiance en soi, elle agit comme une « assistante sexuelle » et peut aller jusqu’à avoir des relations sexuelles avec ses patients.

Comme l’a révélé le quotidien anglais, Mme Deva voit des patients âgés de 25 à 65 ans, dont la majorité souffre de problèmes d’érection.

Chaque session dure généralement quelques heures pendant lesquelles la thérapeute et son patient « peuvent se déshabiller, se faire des massages et se caresser » indique le Daily Mail.

Padma Deva aurait été formée au sein de l’Association d’Assistance Sexuelle Professionnelle Internationale. Cette nouvelle forme de traitement contre les problèmes d’érection qu’elle offre a un prix – la modique somme de 4 000 £ (environ 4 500€) pour 9 sessions.

Avoir des relations sexuelles avec un homme qui se bat pour construire une relation amoureuse avec une femme peut difficilement résoudre le problème en profondeur, selon le psychologue clinique Dr Michael Mantell.

En indiquant que la profession que Mme Deva a choisit peut paraître un peu « véreuse », le quotidien anglais mentionne également que l’assistance sexuelle est basée sur des études cliniques menées par les Maîtres Virginia E. Johnson et William H dans les années 50.

Une partenaire peu réceptive responsable de l’éjaculation précoce ?

Dans une lettre au journal britannique the Sun, un homme de 36 ans a avoué souffrir d’éjaculation précoce parce que sa femme et lui n’avaient que des « petits coups » et non pas des ébats longs et passionnés.

Le 11 Octobre 2016, la rubrique conseils sexuels du journal the Sun a publié une lettre révélant un nouveau facteur de risque à l’éjaculation précoce.

Le manque de réponse sexuelle venant de la partenaire sexuelle peut écourter l’endurance de l’homme, indique le journal anglais.

L’homme, cherchant à présent des conseils d’experts, indique que sa vie sexuelle était réduite à néant pendant les dernières années, sa femme perdant tout intérêt pour tout activité physique avec lui.

La naissance de leur enfant unique pourrait être ce qui a déclenché tant de froideur venant de sa partenaire à son égard lorsqu’il essaye de lui faire des avances.

De mauvaises habitudes de masturbation pendant l’adolescence sont connues comme un facteur de risque pour l’éjaculation précoce, et des ébats sexuels de courte durée peuvent y être liés.

L’expert en sexualité du journal a demandé à cet homme de considérer les multiples rôles que sa femme remplit – jonglant entre les responsabilités d’une nouvelle mère et d’une travailleuse et aussi essayer d’être physiquement présente dans sa relation de couple.

C’est seulement avec une pincée de compromis et de respect mutuel des deux partenaires envers le rôle familial de l’autre que ce problème sexuel peut être résolu, selon les recommandations de l’expert.

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